Le XVIIIème siècle fut une période de trouble pour l’Ardèche, notamment avec des épidémies de peste, des famines causées par des hivers particulièrement froid et plus tardivement la maladie du ver à soie qui mit fin à la sériciculture locale. Ces périodes de troubles se reflètent dans l’architecture du village.
En 1887, une route est ouverte à la dynamite au milieu du castrum pour répondre à des besoins de transport, l’ancienne route principale étant trop étroite pour les chars. Une trouée est découverte dans la roche, celle-ci est attribuée à la légende de la « Fachinière » une jeteuse de sort.
À la fin du XIXe siècle, le pont de Balazuc fut érigé pour relier les deux rives, en réponse à la loi Ferry sur l’école obligatoire. Ce pont facilita le déplacement des enfants de la rive droite vers le centre du village, évitant ainsi le coût d’une embarcation pour traverser la rivière.
Par la suite, les habitants de la rive droite préférèrent fréquenter l’église de Balazuc, plus proche et désormais accessible gratuitement grâce à la construction du pont. Toutefois, l’église romane existante devint trop petite pour accueillir cette affluence croissante, ce qui conduisit à la construction d’une nouvelle église en 1895.